![]() Dans le bain! |
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Le cinema Les différents formats de pellicule, Les formats amateurs et professionels, Les formats de production et de distribution, L'apparition de la couleur au cinéma |
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Tous les procédés de développement sont décrits (négatifs, positifs, couleur, instantané, tirages sur papier).
On y traite des différents formats: des formats professionels grands formats (feuillets individuels ou plan-films), moyens formats (bobines ouvertes) et formats amateurs (bobines fermées et cassettes).
Tous deux utilisent de la gélatine: l'émulsion photographique est composée de plusieurs couches de gélatine sur un sopport plastique. Les différentes couches contiennent les sels d'argent sensible à la lumière. Le film est légèrement chauffé après fabrication, ce qui rend la gélatine peu soluble.
Lors du développement, l'eau et les réactifs pénètrent de façon controlée dans la gélatine, permettant d'avoir un développement correct. La gélatine garde les composants insolubles (les colorants) mais permet l'élimination des composants rendus solubles comme les sels d'argent, qui une fois qu'ils ont rempli leur fonction doivent être éliminés. Le dernier bain dans une centrale de développement est souvent un bain tannant, qui rend la gélatine mécaniquement plus stable.
C'est surtout la qualité trop faible des premier appareils qui a empèché son utilisation par les professionnels du secteur: résolution trop faible (acceptable pour un écran d'ordinateur de l'époque, pas pour une impression professionelle), dynamique trop faible, mauvais rendu des couleurs, effet de moiré, bruit de fond desagréable, sensibilité limitée (une seule valeur fixe).
Beaucoup de photographes avaient égalemente peur du système numérique qui permettait à tout le monde de faire des photos et de les imprimer sans passer par un professionnel du métier.
Mon premier reflex!
L'appareil à droite était offert à chaque abonnement à Time Magazine. Il utilisait le format 24×36, mais c'était vraiment un appareil minable: fix focus, donc pas de mise au point, l'image était plus ou moins nette entre 1m et l'infini (l'optique était tellement mauvaise qu'on ne se rendait pas bien compte de la profondeur de champ).
L'ouverture allait de /6 à /22, mais ce n'était pas un diaphragme classique, mais une fente allongée. Le temps de pose était fixe à 1/30 environ. L'appareil était conçu pour des films de 100ISO.
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