Dans le bain!
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- La pellicule
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Le cinema
Les différents formats de pellicule,
Les formats amateurs et professionels,
Les formats de production et de distribution,
L'apparition de la couleur au cinéma
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On y parle de l'historique de la photographie, des plaques du daguerréotype jusqu'aux négatifs et diapositives. La couleur fait son apparition avec le procédé Lumière basé sur le développement monochrome positif, puis rapidement on développe une chimie couleur distincte qui utilise des coupleurs pour faire apparaitre la couleur.
Tous les procédés de développement sont décrits (négatifs, positifs, couleur, instantané, tirages sur papier).
On y traite des différents formats: des formats professionels grands formats (feuillets individuels ou plan-films), moyens formats (bobines ouvertes) et formats amateurs (bobines fermées et cassettes).
- L'évolution des optiques
- Des optiques les plus simples composée d'une seule lentille (ménisque) aux optiques les plus complexes, composées de plus de 20 lentilles élémentaires. Maintenant vous saurez pourquoi une optique se compose de tellement de lentilles!
- Le Zone System de Ansel Adams et Fred Archer
- Ce système était destiné à garantir une exposition correcte en tenant compte de tous les éléments: l'exposition du feuillet (diaphragme et temps de pose), le développement du négatif, le tirage et le développement du positif.
- Prontor-Compur
- La connection Prontor Compur était la connection standardisée pour le flash, avant l'apparition de la griffe porte flash.
- Les premiers photoscopes
- Nous décrivons les premiers photoscopes Mavica et l'évolution de la technologie et des cartes de mémoire.
- Comparaison d'un reflex numérique avec un reflex argentique
- Le calcul de l'exposition correcte, la mise au point et (uniquement avec les reflex numériques) la balance des blancs.
- Utilisation d'un reflex manuel
- Réglage de l'exposition et mise au point par télémètre à champ coupé.
- Musée de la photographie de Charleroi
- Le musée de la photographie de Charleroi, ce sont surtout de nombreux clichés, du début de la photographie à nos jours, des couvertures de journaux et des exmpsitions temporaires.
Vous ne voyez pas le rapport entre les wine gums de Haribo et la photographie?
Et les couleurs, cela ne vous met pas la puce à l'oreille?
Tous deux utilisent de la gélatine: l'émulsion photographique est composée de plusieurs couches de gélatine sur un sopport plastique. Les différentes couches contiennent les sels d'argent sensible à la lumière. Le film est légèrement chauffé après fabrication, ce qui rend la gélatine peu soluble.
Lors du développement, l'eau et les réactifs pénètrent de façon controlée dans la gélatine, permettant d'avoir un développement correct. La gélatine garde les composants insolubles (les colorants) mais permet l'élimination des composants rendus solubles comme les sels d'argent, qui une fois qu'ils ont rempli leur fonction doivent être éliminés. Le dernier bain dans une centrale de développement est souvent un bain tannant, qui rend la gélatine mécaniquement plus stable.
Les débuts du numérique
Les photographes professionnels sont passés très tard au numérique, préférant continuer à utiliser leur reflex argentique ou leur moyen format. Le numérique était au début surtout utilisé par des non-professionnels, interessés par les avantages indéniables du nouveau système.
C'est surtout la qualité trop faible des premier appareils qui a empèché son utilisation par les professionnels du secteur: résolution trop faible (acceptable pour un écran d'ordinateur de l'époque, pas pour une impression professionelle), dynamique trop faible, mauvais rendu des couleurs, effet de moiré, bruit de fond desagréable, sensibilité limitée (une seule valeur fixe).
Beaucoup de photographes avaient égalemente peur du système numérique qui permettait à tout le monde de faire des photos et de les imprimer sans passer par un professionnel du métier.
Historique
Mon premier reflex!
Alors qu'on associe principalement le format 24×36 aux appareils haut de gamme, il y avait également des produits très bon marché (et même gratuits). Ma mère recevait régulièrement un appareil Pocket Instamatic quand elle achetait 36 boites de nourriture pour chats ou de la poudre à lessiver.
L'appareil à droite était offert à chaque abonnement à Time Magazine. Il utilisait le format 24×36, mais c'était vraiment un appareil minable: fix focus, donc pas de mise au point, l'image était plus ou moins nette entre 1m et l'infini (l'optique était tellement mauvaise qu'on ne se rendait pas bien compte de la profondeur de champ).
L'ouverture allait de /6 à /22, mais ce n'était pas un diaphragme classique, mais une fente allongée. Le temps de pose était fixe à 1/30 environ. L'appareil était conçu pour des films de 100ISO.
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